A poils devant leur chef

L’armée n’est pas fait pour les timides, il faut sans doute avoir un brin d’insolence et d’envie de déconner entre mecs si non on risque de passer de mauvais moments . Je ne sais pas ce qu’on fait ces deux gaillards pour se retrouver à poil devant leur chef de section mais ils ne semblent pas très impressionné par la situation. Je ne sais si certain on déjà vécu ce genre de choses n’hésitez pas à laisser un commentaire réel ou fictif 🙂

1 commentaire

  1. Afrique, je suis arrêté sur la route pour une infraction; amende en espèce ou prison; je choisis prison, j’ai jamais fait.
    Au poste, interrogatoire debout, une heure, identité, les faits, pourquoi je veux la prison plutôt que payer une amende.
    Je dois laisser mes papiers à l’officier puis suivre un soldat qui m’emmene au sous sol; couloirs, pas de fenêtre, odeurs, peu de lumière. Il me montre une petite pièce et me dit de me déshabiller; un tas de vêtements à terre, en vrac; j’enlève ma chemise, mon futal et reste en slip; il me redis de me déshabiller; je baisse et enlève mon slip, je suis nu devant lui.
    Je dois le suivre encore; il a une chicote en main, espèce de baguette qu’il tapote sur ses mains. Encore un escalier et un étage en dessous; il s’arrête et discute un bon moment avec d’autres soldats; ils plaisantent et me remet à ses potes; je dois rester dos au mur sans bouger; ils plaisantent encore; j’attends, nu, longtemps.
    Enfin un soldat, avec sa baguette, me fait signe de le suivre. Nous arrivons dans un large couloir; je regarde autour, de chaque côté des cellules, pas grandes avec dans chaque cellule une dizaine d’hommes, tous nus; ça sent la pisse, la merde, le sperme.
    Les gars hurlent « la chicote au blanc »
    Je suis attaché par les mains à un poteau en bois au centre du couloir, dois reculer mes jambes et les écarter pour bien exposer mes fesses; je sens que j’ai aussi les couilles bien exposées, il fait chaud, elles pendent; je vais recevoir 50 coups de chicote sur les fesses, les cuisses, le dos puis me tourner d’un quart de tour et de nouveau cinquante coups jusqu’à avoir fait le tour complet et exposé mon cul à tous. j’ai mal; La chicote vient parfois soulever mes couilles et les gars rigolent; je suis brutalement décalotté puis laissé là, exposé; chaque quand d’heure je dois me tourner pour montrer mes fesses toutes rouges aux gars dans les cellules sinon je reçois la chicote.
    J’ai envie de pisser, me retiens.
    Puis détaché et je suis douché au jet d’eau puissant, je dois exposer mon corps, ouvrir mon cul, présenter ma queue, mon gland et avec un coup de pieds au cul je suis envoyé dans une cellule. Les hommes sont serrés, une dizaine; ils me regardent et commencent à me toucher partout, tâtent mes couilles, me décalottent (ils sont circoncis) , me branlent, essaie le cul, tirent les poils; ils m’acceptent.
    Je peux aller pisser dans rigole, là où tout le monde va devant tout le monde; je pisse; les gars regardent le blanc pisser; plus tard j’irai chier.
    La nuit je dors à terre, nous sommes serrés, hommes contre hommes, peau, respiration,sueur, sperme parfois; tout se mélange.

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